• ATELIER DE JANEDEAU

     Soit une poésie ou tout autre

     

    Avec ses mots-ci-dessous

    soleil / errance / chercher / frapper / tête /

    roulis / jour / nuit / amour / monde /

     

     Vous pouvez participer que si cela vous tente !

     

     

     

     

    Partir encore plus loin

     

    En ce beau jour où luit le soleil

    J’ai le cœur d’encre noir, déchiré.

    L’âme en errance perdue je vogue

    Au milieu des ombres mortes.

     

    J’ai cherché en vain tes yeux

    J’ai écouté tes mots du silence

    Mais je n’ai pas entendu ta voix

    Dans l’écho de mes rêveries

     

    Les hivers fatigués nous ont quitté

    Les printemps abritent la solitude

    Les étés portent toujours le deuil

    Et moi, je suis resté dans ton automne

     

    Je t’ai cherché sur toutes les routes

    Frappé des milliers de poteaux

    Dans ma tête, pensées à m’endormir

    Dans des roulis d’où on ne revient plus.

     

    Disparaître comme le jour qui s’en va

    Comme la nuit qui ne revient jamais

    Partir, oublier l’amour envolée

    Vivre sans fin dans un autre monde.

    ©Janedeau

     


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  • ATELIER DE JANEDEAU

     

     

    Soit une poésie ou tout autre

    Avec ses mots-ci-dessous

     

    Garder / perdre / vague /   mot / bourdonnement /

    Chuchoter / été / monde / pavé / mémoire /

     

     Vous pouvez participer que si cela vous tente !

     

     

     

    Quand ta voix se tait

    Serge

     

    Quand ta voix se tait

     

    Oh mon amour, quand tu gardes le silence

    Et que le vent à mon oreille, n’a plus d’écho,

    Que mon regard te perd dans les étoiles.

    Et qu’au gré des flots des rivières sauvages

    Mon âme cherche ta vague bleue qui rêve.

     

    Dis-moi, te souviens-tu de mes mots d’amour,

    De mes sourires qui ruissellent dans mes yeux.

    Entends-tu le bourdonnement des vents du désir

    Qui te chuchote la clameur du soleil en plein été ?

     Vois-tu c’est mon cœur qui t’appelle encore.

     

    Viendras-tu faire pâlir ce monde en dérision

    Tout autour de nous, qui ne rêve plus d’amour.

    Pourras-tu oublier les perles de pluie encourues

    Sur les pavés asphaltés de nos âmes attristées

    Garderas-tu en mémoire que moi, je t’aime.

    ©Janedeau

     


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  •  

    ATELIER DE JANEDEAU

     

    Avec ses mots-ci-dessous

    Beauté / croiser, éveiller / visage / pluie

    Courant / transporter / fougères / langueurs / habiter

     

     Vous pouvez participer que si cela vous tente !

     

     

     

    .

     

    Dédié à Serge

     

    Tu es mon rêve

    Tu es mon rêve, la beauté de mes nuits

    Quand je croise le chemin de tes yeux.

    Quand ta main pressant la mienne

    Exalte tout un monde de frissons.

    Dans mon cœur éveillé à l’amour

    Je cherche sur ton visage cette ile

    Qui ensoleille la pluie de tes baisers.

    Ton nom comme un vent d’été radieux

    Immobilise le courant des heures

    Et se dépose léger et soyeux sur mes lèvres.

    Les sourires dans tes yeux me transportent

    Sur des lits de fougères et de mousse verdoyantes.

    Ô rêve, rêverie de mon bel amour

    Étend sur ma vie, ses langueurs et son ciel bleu

    Réveille mes errances dans la beauté de l’univers

    Je veux habiter dans l’antre de ses bras.

    ©Janedeau

     


    12 commentaires
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    ATELIER DE JANEDEAU

     

    Avec ses mots-ci-dessous

     

      

     

     

    Dimanche, grandes, détresse, bonheur, octobre

    Encre, onde, brouillard, pouvoir, silencieux

     

     

     

    * N'oubliez pas

     

    que les verbes donnés peuvent être accordés

     

     

     

     Si vous le désirez, faire

     

     

     

    Soit un écrit ou une poésie comme il vous plaira

     

    Vous participez que si cela vous tente !

     

     

     

    Octobre

     

     

     

    Où étais-tu en ce beau dimanche d’octobre

     

    Quand le soleil voguait sous mes yeux

     

    Étendant sur les flots ses grandes voiles d’ors ?

     

     

     

    Où étais-tu quand je voyageais dans ma détresse

     

    Quant au cœur m’étreignais un monde nostalgique,

     

    Quand je ne savais par quel chemin où te retrouver.

     

     

     

    Je t’imaginais le cœur serré, avec une autre,

     

    Sillonnant aux alentours, les routes des villages

     

    Avec ce bonheur d’errance au fond des yeux.

     

     

     

    Octobre dans la lignée des mois attristés

     

    A déposé sous mes pieds des feuilles mortes.

     

    Les roses du jardin se sont fermées et fanées.

     

     

     

    Sous mes mains, l’encre de mes mots errent

     

    Avec l’absence de ton amour pour moi

     

    Ne sachant qu’écrire que l’onde des regrets.

     

     

     

     Je sais que l’automne pleure dans mon cœur

     

    Que le brouillard dans ma mémoire, efface

     

    Les ombres de mes beaux souvenirs de toi.

     

     

     

    Je dois sécher mes yeux pour te revoir encore

     

    Mes prières auront-elles le pouvoir de te ramener

     

    Au bercail de mes amour et illuminer mon âme ?

     

     

     

    Le temps réussira-t-il à tarir ma souffrance ?

     

    Entendras-tu les cris silencieux de ma douleur

     

    Viendras-tu me sauver et me dire que tu m’aimes.

    ©Janedeau

     

     


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  • ATELIER DE JANEDEAU

    Avec ses mots-ci-dessous

      

    Nuit, soleil, parcours, sauvages, instant

     

     Monde, étoiles, scruter, naufrage, chanter

     

    * N'oubliez pas

    que les verbes donnés peuvent être accordés

     

     Si vous le désirez, faire

     

    Soit un écrit ou une poésie comme il vous plaira

    Vous participez que si cela vous tente !

     

     

    .

     

    Le rêve de tes nuits

     

    Tu m’as donné le rêve de tes nuits

     

    Et le soleil passait dans mes yeux.

     

    Le ciel étendait sous tes pas, l’horizon

     

    Et tes parcours ensemençaient ton ombre.

     

     

     

    Les roses sauvages à l’abord des chemins

     

    Parfumaient mon corps d’ivresse.

     

    L’espace d’un instant, je recueilli

     

    En ton souvenir, le nectar de tes baisers.

     

     

     

    Nul chant au monde n’était plus beau

     

    Que ce désir de toi, que d’entendre

     

    Le rire des étoiles accostées dans ta voix.

     

    Oh mon amour, pour te voir, je scrute l’océan

     

     

     

    Je vois dans les vagues, ton sourire

     

    Faire naufrage sur l’onde de mon cœur.

     

    Le vent qui chante encore une mélodie

     

    Me dit que tu m’aimes toi aussi.

    ©Janedeau

     

     


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